Do Son, reformulé en eau de parfum, prend l’enfance d’Yves Coueslant (cofondateur de diptyque) comme fil d’Ariane et dresse le portrait de son enfance, passée au Vietnam près de Do Son. Enfant, il appréciait les balades balnéaires qu’il y faisait, où les effluves fleuris faisaient la part belle à la majestueuse tubéreuse. 
Ce parfum, comme un voyage des sens, est une ode à cette fleur mystérieuse.
D’abord entourée de baies roses, la tubéreuse prend des tournures espiègles ; elle fuse et pique, indomptable. Sur son chemin, elle s’acoquine à la fleur d’oranger qui exhale une indolence suave et riche. Réchauffée par les rayons d’un soleil chatoyant elle devient maintenant crémeuse et solaire, presque narcotique. Se complaisant dans la douceur, la tubéreuse s’accompagne d’un benjoin et d’un iris, dont le poudré intense dessine les courbes d’une féminité épanouie.