Parfum de Marly

Type Entreprise
Année de création 2009
Nombre de parfums 2
Parfum de Marly
Historique
Discours de la marque :
"Parfums de Marly puis son inspiration au milieu du siècle qui célèbre l’apogée de l’élégance à la Française : le XVIIIe, règne de tous les parfums.
La philosophie Parfums de Marly
Fondée en 2009 par Julien Sprecher, épris de parfums de père en fils, Parfums de Marly, marque de haute-parfumerie, insuffle du rêve avec des jus « signés ». Son univers : le XVIIIème siècle, les fastes d’une sorte d’âge d’or de la parfumerie, où à la Cour du Roi, baptisée par les autres monarchies européennes « la cour parfumée », le luxe des fragrances issues de Grasse, capitale mondiale du parfum, se disputaient à l’élégance hiératique des chevaux de course.
Parfums De Marly exprime un style de vie raffiné, contemporain de lignée royale. Chaque essence est une expérience olfactive distinctive, avant tout personnelle mais qui imprime un sillage à l’élégance très Française.
L’art du raffinement parfumé
Les roses, les fleurs, les fruits, les essences exotiques, sont omniprésents sous toutes leurs formes à la cour de Louis XV : Les décors intérieurs du Château de Marly, lieu où le Roi aime se retirer, se parent de décorations faites de volutes et d’éléments floraux de couleur pastel, vert d'eau ou rose pâle. Les Dames de la cour aiment les éventails en bois précieux parfumé et incrusté de bijoux en « faux diamant » tout juste inventé par Georg Frederich Strass en 1738. Le tissu des robes mélange dans un grand raffinement visuel toutes les couleurs de la nature et l’odeur de tous les parfums. On compose dans les cheveux de ces précieuses de véritables petites scènes miniatures faites de plumes, de fruits, de fleurs et de petits oiseaux peints…
Le parfum à son apogée
Sous le règne de Louis XV, chaque composition olfactive rivalise d’ingéniosité. Dans les secrets du Roi ou dans les appartements privés du Château de Versailles ; les bouquets mélangent les fragrances : de fleurs, de pots-pourris ou d’essences de fruits. La création parfumée est débridée ; les courtisans ont même chez eux leur « cave à parfums », qui leur permet de composer les mélanges les plus élaborés.
Socle de la parfumerie moderne
Les exigences de la « cour parfumée » de Louis XV marquent la révolution olfactive : la mode est aux compositions recherchées. Sous l’impulsion de grands parfumeurs comme Fargeon et avant lui Dejean les parfums « fauves », initialement composés de 2 ou 3 ingrédients capiteux, la « note de fond », s’enrichissent de couteux et complexes bouquets floraux sous le nom de « mille fleurs », qui se transformera sous l’effet du temps en « note de cœur ». Quant à la « note de tête » déjà en vogue à la cour de Louis XIV grâce à la princesse de La Trémoille – Nérola, qui donna son nom au Néroli, elle prendra son envol avec les essences de fruits et surtout « L’eau de fleur d’oranger » favorite du Roi Louis XV et de la Marquise de Pompadour.
1743, le Cheval - Symbole de Noblesse
Les représentations sculptées du cheval comme thème de décor pour les jardins prend tout son essor au Château de Marly. Godolphin Arabian, étalon de la plus pure lignée parmi les pur-sang Arabe ; offert à Louis XV par le Bey de Tunis, sert d’inspiration au Roi lorsque celui-ci commissionne en 1743 les Chevaux de Marly à Guillaume Coustou.
Considérés dès le début comme chefs-d ’œuvres de la sculpture Française, Les Chevaux de Marly échappèrent à la destruction du domaine de Marly sous la Révolution Française et furent transportés place de la Concorde à Paris. Afin de les préserver, ils entrèrent au Louvre en 1984 dans la bien nommée cour de Marly.


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